L’ancien ministre de l’Intérieur britannique est soupçonné d’avoir couvert les agissements d’un réseau pédophile dans les plus hautes sphères du pouvoir au cours des années 1980.
Leon Brittan a toujours nié avoir participé à ces crimes mais reconnu qu’il n’avait pas donné suite à la remise de « papiers » à leurs propos ; un dossier « perdu » depuis. Des accusations pèsent pourtant sur lui. Il repose désormais dans un cimetière israélite et sa veuve se réserve le droit d’autoriser les visites sur sa tombe non marquée.