Le mondialiste Soros pousse l’Eglise orthodoxe à promouvoir l’intégration de la Géorgie dans l’UE

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Guiorgui Margvelachvili, Président de la République de Géorgie.

 
Profondément agacé par les mises en garde de l’Eglise orthodoxe contre la perte de souveraineté de la Géorgie si celle-ci intègre l’UE, le milliardaire athée et mondialiste George Soros et plusieurs gouvernements d’Europe utilisent son argent et celui des contribuables pour financer des cours d’intégration européenne aux prêtres… Une Union européenne dont Soros estime par ailleurs qu’elle est « sur le point de s’effondrer ».
 
Selon la propagande du Center for Development and Democracy de George Soros, l’Eglise orthodoxe géorgienne, pourtant complaisante à l’égard des eurocrates bruxellois, est perçue par bien des partisans de l’intégration européenne comme un obstacle à l’absorption par l’Europe de ce pays de 4 millions d’habitants, qui fut partie intégrante de l’ex-URSS.
 

La Géorgie doit intégrer l’UE, selon la propagande mondialiste de Soros

 
En Géorgie, pays chrétien depuis le quatrième siècle, les habitants sont il est vrai de moins en moins enthousiastes à l’idée de rejoindre l’Union européenne. Qu’à cela ne tienne, l’Astro Turf group, fondé par Soros, utilise l’argent ponctionné aux Britanniques et aux Hollandais pour peser sur la politique géorgienne par le biais d’un « projet éducatif » qui vise à « sensibiliser les prêtres au niveau des paroisses en Géorgie à la question du processus d’intégration » explique eurasianet.org, un organe de propagande de Soros.
 
Depuis 2014, pas moins de 1.700 prêtres et enseignants liés à l’Eglise ont subi l’endoctrinement de Soros, le but de l’opération étant qu’il soit ensuite répercuté dans les sermons, les confessions, les pèlerinages, les mariages, etc. « S’il s’agit de respecter notre culture et tout ce qui nous rend unique, tout en respectant cela chez eux, pourquoi avoir peur ? » demande Giorgi Gogesashvili à propos de l’UE après ce qu’il considère avoir été une session « fructueuse » du groupe Soros…
 
Ironie de l’histoire, de nombreux néerlandais avaient voté non au référendum sur la Constitution européenne, et souhaitent sortir de l’Europe… De même que les Britanniques sont actuellement concernés par le possible Brexit avec leur référendum à venir.
 

L’Eglise orthodoxe manipulée pour promouvoir l’intégration mondialiste

 
En Ukraine, les mondialistes poussent le peuple vers un faux choix : accepter le régime autoritaire de l’UE, ou intégrer le non moins autoritaire projet de Poutine appelé Union eurasienne. Il s’agit d’un faux choix, dans lequel l’Ukraine perd face au mondialisme. Car elle pourrait tout simplement rester indépendante et souveraine.
 
Dans un livre paru récemment et intitulé World Order (Ordre mondial), l’apparatchik du mondialisme Henri Kissinger dit vouloir « établir une stratégie cohérente établissant le concept d’ordre (gouvernement régional) dans les diverses régions du monde et les relier ensuite ». Les plans de Soros s’inscrivent dans cette logique. Bien sûr, ses plans ne s’arrêtent pas à la Géorgie. Aux Etats-Unis, cet étatiste radical a arrosé des mouvements « chrétiens » à coups de millions de dollars pour promouvoir l’ouverture des frontières, l’avortement, l’homosexualité, le mondialisme, l’étatisme et autres extrémismes antichrétiens. Il désigne le barbare pouvoir communiste chinois, qui persécute sans pitié les chrétiens, comme le leader du Nouvel Ordre Mondial. Soros n’est pas un chrétien mais un athée, et bien que protégé par la dynastie Rothschild, et d’ascendance juive hongroise, il a reconnu publiquement avoir aidé le régime nazi à spolier les Juifs. Dans une interview à 60 minutes, il s’est justifié en disant que si ce n’était lui, « d’autres l’auraient fait quand même ».
 
Paradoxalement, Soros reconnaît que l’UE est au bord de l’effondrement, en raison des millions de réfugiés et de migrants qui s’y rendent actuellement, une situation qu’il a largement contribué à créer. Bien qu’il se fasse passer pour un philanthrope, on peut difficilement croire que son désir de rattacher la Géorgie à l’UE ait un but humanitaire.