Une étude réalisée par des chercheurs de l’université de Columbia révèle que le syndrome de fatigue chronique serait une véritable maladie biologique et non psychologique, qui peut être identifiée par des marqueurs dans le sang.
Une découverte qui constitue selon les chercheurs « la première preuve physique solide » que ce syndrome est « une maladie biologique et non un désordre psychologique » et que la maladie comporte « des étapes distinctes » et donc mesurables.