Selon les derniers chiffres de l’Institut national de statistique et de recensement argentin, le taux de pauvreté au premier semestre de l’année 2025 a été de 31,6 %. Une proportion certes très élevée, mais qu’il faut comparer avec les 52,9 % de pauvres du premier semestre de 2024, alors que Javier Milei venait de prendre le pouvoir et que le pays pâtissait encore de la politique de ses prédécesseurs. Au second semestre de 2024, ce taux était descendu à 38,1 %. Ces chiffres sont les plus bas depuis 2018.
Ces résultats impressionnants ont été salués par French Hill, président du Comité des services financiers de la Chambre des représentants des Etats-Unis : « Réduire les dépenses publiques, éliminer l’inflation, alléger les formalités administratives, supprimer les barrières commerciales et encourager le libre marché favorisent la croissance économique et éliminent la pauvreté. J’espère que d’autres nations en prendront exemple. »
Des chiffres plus qu’encourageants, donc, même si Javier Milei est présenté par les médias comme en difficulté avant les élections de mi-mandat qui auront lieu fin octobre, sur fond de scandale de corruption dans son entourage.