Trudeau veut aggraver le projet de l’OMS sur les pandémies

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Le projet de l’OMS de traité mondial sur les pandémies a provoqué de légitimes réactions de défiance chez tous ceux qui sont attachés aux libertés individuelles et voient en lui un nouvel instrument d’ingénierie sociale visant à préparer l’humanité à une gouvernance mondiale sous prétexte de sécurité sanitaire. Or le Canada gouverné par le militant mondialiste Justin Trudeau propose de l’aggraver encore, sous les prétextes les plus vertueux, naturellement. Deux principalement : contrer la « désinformation » et protéger les groupes « marginalisés ». Le rapport de synthèse publié en juillet par l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) pose que « des stratégies de prévention globales, des pratiques de surveillance inclusives et la résolution des problèmes des communautés marginalisées sont essentielles pour une prévention efficace de la pandémie ». Le premier point soulevé porte sur « l’inclusivité et les données fondées sur la race », l’ASPC estimant que « la collecte de données peut être un défi, aggravé par les relations tendues entre les peuples autochtones et le système de santé, marquées par des déficits de confiance et des différences de pouvoir profondément ancrées ». En dehors de cette promotion des « racisés » par le biais des pandémies, le Canada de Trudeau veut donner à l’OMS en particulier et à la gouvernance globale en général les outils juridiques pour assurer un rejet étanche de toute opinion médicale ou scientifique différente, et cette vigilante censure prend bien sûr le nom vertueux de « lutte contre la désinformation ». L’ASPC écrit : « La lutte contre la mésinformation et la désinformation est essentielle aux efforts de réponse à la pandémie, comme en témoigne son impact sur les taux de vaccination et d’immunisation dans le monde. » Là en effet où les populations ont été moins sensibles à la propagande massive du système, les vaccins, considérés à juste titre comme inutiles ou potentiellement dangereux, ont été moins utilisés. Et cela en partie grâce à l’esprit critique dont font parfois preuve les réseaux sociaux. C’est pourquoi l’ASPC ajoute : « Des efforts doivent être faits pour tenir les plateformes de médias sociaux responsables du contenu qu’elles hébergent. » On peut compter sur Justin Trudeau pour faire bonne garde : en 2022 il avait fait charger la police contre le convoi de la liberté qui protestait à Ottawa contre l’ingénierie sociale du covid et… gelé les comptes bancaires des Canadiens qui avaient fait des dons à la manif ! Une pétition circule au Canada pour dénoncer un traité dont tout le contenu n’est pas encore connu, qui pourrait « imposer une surveillance universelle inacceptable et intrusive, violant les droits et libertés garantis par la Déclaration canadienne des droits et la Charte des droits et libertés ».