C’est le traitement révolutionnaire développé par l’Imperial College de Londres : l’injection d’un gène créé en laboratoire dans le cœur des victimes d’arrêt cardiaque. Le gène renforce la production d’une protéine nécessaire au rétablissement de l’organe. L’équipe espère qu’à terme le traitement permettra d’en finir avec les transplantations cardiaques.