Effets secondaires des « vaccins » COVID-19 : un nouveau film, « The Unseen crisis »

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La prise de conscience prend de l’ampleur et dépasse désormais les cercles qualifiés de « complotistes », tant la réalité se rappelle à la raison. Les expérimentations des vaccins ou prétendus tels contre le COVID-19 ont provoqué de larges effets secondaires, mortels, graves ou moins graves. S’il est encore difficile de pouvoir prouver, pour tous les signalements, le lien avec la vaccination (bien qu’on puisse déjà le faire pour un certain nombre) on ne peut ignorer et cacher délibérément ces états de fait.

Mettre en lumière ces multiples cas, la scandaleuse inaction et complicité des agences publiques, des Etats et des médias, donner de l’espoir à ceux qui en pâtissent, tels sont les objectifs de The Unseen Crisis, film documentaire américain (disponible pour 4 $ via un abonnement à Epoch Times).

 

The Unseen Crisis : le haut de l’iceberg

Les choses bougent. Après une lourde assignation, en janvier, au tribunal civil de Marseille, devait débuter, le 12 juin, la première action en justice en Allemagne contre le laboratoire allemand BioNTech, qui a développé avec l’américain Pfizer l’un des principaux vaccins contre le Covid : la plaignante demande des dommages et intérêts pour les effets secondaires présumés subis. L’audience a été reportée à la suite d’une récusation du juge pour partialité, à la demande du cabinet d’avocats représentant la plaignante, qui réclame, à la place, un groupe de magistrats.

Parce que le contexte est évidemment délicat, le sol miné.

The Unseen Crisis donne à voir quelques-unes de ces victimes, de ces centaines de milliers d’enfants et d’adultes souffrant d’atteintes rémanentes ou de blessures invalidantes à la suite d’un « vaccin » à ARN messager dont on leur avait dit qu’il les protégerait. Car c’est bien là, le comble de l’ironie… Sans parler des milliers de morts dont on ne parlera peut-être jamais. Quand les établissements publics et les médias se lavent les mains et (ou) gardent leurs œillères, il n’est que d’écouter ceux qui peuvent parler de leurs propres maux.

 

Toute la gamme des effets secondaires

Plusieurs d’entre eux ont perdu leur capacité à marcher, à respirer ou à se déplacer normalement, temporairement ou ad vitam. Les témoignages sont pléthore.

Une kinésithérapeute a commencé à vomir abondamment dans les 48 heures suivant sa deuxième injection de Moderna et s’est trouvée sous ventilateur dans la semaine – elle a toujours besoin aujourd’hui d’un tube à oxygène. Un pilote de ligne s’est effondré à la suite d’une crise cardiaque et a failli mourir après l’administration obligatoire d’un vaccin COVID. Une infirmière a senti son corps commencer à trembler de façon incontrôlable et avait l’impression que son cœur « battait hors de sa poitrine » 12 minutes après son injection de Moderna. Un père, dont le fils de 16 ans est décédé cinq jours après son injection de Pfizer…

Et cette jeune adolescente, Maddie de Garay, qui « hurlait de douleur » après son injection de Pfizer : migraines, tremblements, fortes douleurs à l’estomac… Elle est maintenant en fauteuil roulant et doit être alimentée par un tube. Quand la mère de Maddie a tenté de prévenir le laboratoire, ce dernier a dit avoir diagnostiqué « des douleurs abdominales fonctionnelles ». C’est maigre !

Ce qui frappe dans ce film, nous dit Life Site News, c’est la façon dont toutes ces personnes ont été abandonnées par les médecins, les hôpitaux, et le gouvernement, sans parler des laboratoires pourvoyeurs de ces essais pseudo-thérapeutiques : ils ont fait face à une abdication délibérée de la surveillance par la FDA (Food and Drug Administration).

 

Sombres essais des « vaccins » COVID-19

Des témoins sont également interviewés comme Brook Jackson qui a été embauchée par la société Ventavia, missionnée par Pfizer pour mener l’essai de phase 3 sur 1.000 participants. Employée durant quinze jours, en septembre 2020, elle avait rapidement décelé des « problèmes majeurs » : données falsifiées, pas de signature d’un chercheur principal, défaut de surveillance de la température du vaccin… Les participants à l’essai n’étaient pas « aveuglés » quant au traitement qui leur était administré, une violation en règle du protocole de Pfizer (les sociétés pharmaceutiques et les organisations de recherche clinique par contrat ont des procédures strictes de levée l’anonymat). Et surtout l’absence flagrante de signalement d’événements indésirables graves.

Après avoir fait remonter ces informations à Ventavia et Pfizer, Brook Jackson les a envoyées par e-mail à la Food and Drug Administration, ce qui lui avait valu un licenciement, six heures plus tard.

Revenir sur ces zones d’ombre flagrantes était nécessaire. En faire voir et mesurer les conséquences, encore plus. Mais The Unseen Crisis ne s’en tient pas là et donne de l’espoir à tous ceux qui en ont été les victimes, de près ou de loin. Nombreux sont ceux qui y témoignent des différents traitements et médicaments qu’ils ont pu expérimenter… puisqu’évidemment ces patients sont, le plus souvent, fort mal suivis et doivent se débrouiller.

La plus grande des leçons est donnée par une femme, Joséphine : « Je souffre quotidiennement de mes blessures. Mais je suis honnêtement reconnaissante que cela se soit produit, car je ne tiendrai plus jamais rien pour acquis »… La confiance est désormais rompue.

 

Martin Zizi : « La crise vaccinale est en train de commencer »

Comme l’a dit, toujours dans ce film, le Dr Paul Marik, le deuxième médecin en soins intensifs le plus publié au monde, « nous sommes confrontés à une tragédie aux proportions indicibles, qui, selon notre gouvernement et leurs agences fédérales, n’existe pas ». Et qui ressemble pourtant bien à un iceberg. Pourquoi ce silence, cette omerta ? Comme la FDA refuse de reconnaître publiquement les dommages causés par les vaccins, les médecins « craignent pour leur carrière », malgré la publication de tous les signaux de sécurité via le Vaccine Adverse Event Reporting System, malgré tout ce à quoi ils peuvent être confrontés chez leurs propres patients.

Pourtant des chiffres existent, des remontées ont eu lieu depuis ces trois années. Il suffit de se rendre sur le site Eudravigilance, le réseau européen de traitement des données et le système de gestion pour la notification et l’évaluation des effets indésirables suspectés de médicaments. Si l’on considère le « vaccin » Pfizer le plus administré, le Tozinameran, on compte pour ce seul vaccin, au 5 juin 2023, en Europe, plus de 1.223.939 effets secondaires, dont 425.000 sur le système nerveux, parmi lesquels 154.936 effets graves.

Dans un entretien à France-Soir, le 10 juin dernier, Martin Zizi, médecin, biophysicien et épidémiologiste moléculaire, ancien conseiller de l’ONU et président d’un Comité de bioéthique a dressé un bilan sévère de la gestion de la crise sanitaire, et en particulier des thérapies géniques, sur lesquelles il a beaucoup travaillé. « La crise vaccinale est en train de commencer », dit-il, avec l’apparition « d’effets secondaires liés » à l’usage « de la plateforme ARNm ». Une technique à ses yeux « qui n’était pas prête pour un usage massif ».

Et que dit-on de la terrible crise de la natalité, chiffres de l’INSEE à l’appui, qui frappe de plein fouet les pays occidentaux, les plus « COVID-vaccinés » au monde ? Que dit-on de ces jeunes qui meurent beaucoup trop depuis le milieu de l’année 2021 ? Comme le disait Pierre Chaillot, auteur de Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels, paru en janvier chez L’Artilleur, il y a d’indubitables signaux statistiques qui devraient faire parler d’eux.

 

Clémentine Jallais