C’est ce qu’a annoncé le ministre kazakhe des Affaires étrangères, Kairat Abdrakhmanov lundi à la presse, affirmant avoir reçu cette « bonne nouvelle » depuis Bruxelles alors que son gouvernement cherche à obtenir cette simplification depuis « plusieurs années » déjà.
L’information fait suite à la décision du Parlement européen d’approuver un accord de partenariat et de coopération renforcés de l’UE avec le Kazakhstan, qui exige un meilleur fonctionnement de la démocratie dans le pays et prévoit davantage d’échanges Erasmus +.
Et, inévitablement, le « développement durable »…