Variole du singe : l’OMS pousse au mondialisme par les pandémies

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On ne dit plus variole du singe, comme en 2022. C’était sans doute trop homophobe : la maladie touchait alors surtout les homosexuels masculins qui s’infectaient par leurs rapports sexuels. On ne dit donc plus non plus, en anglais, Monkey Pox, mais son diminutif, MPox. Le résultat recherché est le même : faire peur à la planète entière afin de modifier le comportement de toute l’humanité. Depuis une vingtaine d’années, l’OMS utilise ainsi les pandémies au profit du mondialisme. Le 14 août, l’Organisation mondiale de la santé a décrété une « urgence de santé publique de portée internationale », qui est son niveau le plus élevé d’alerte sanitaire. Pourquoi ? Parce que 500 (cinq cents) personnes sont mortes cette année en République démocratique du Congo (ex-Zaïre, ex-Congo Stanleyville), pays dont le virus est originaire. A titre de comparaison, la malaria a provoqué 40.000 décès dans le même pays (le plus peuplé des Etats francophones) en le même laps de temps.

 

Comment se transmet la variole du singe

La variole du singe se manifeste par des pustules, de la fièvre, des douleurs musculaires et peut prendre des formes graves menant à la mort en l’absence de traitement. Elle est due à un virus découvert en 1958 au Danemark chez des singes élevés pour la recherche et détecté chez l’homme pour la première fois au Zaïre en 1970. On en connaît deux variétés, le Clade 1 en cause aujourd’hui, et le Clade 2, qui a sévi en 2022. Le virus passe du singe à l’homme par des rongeurs de type écureuil pour produire une zoonose, puis, franchissant la barrière de l’espèce, se transmet entre êtres humains par divers contacts rapprochés. Dans la variole du singe de 2022, la sodomie entre gays. En 2024, il semblerait que les contacts domestiques en famille suffisent, peut-être à cause de la malnutrition et de la présence d’autres maladies qui affaiblissent l’immunité naturelle, et la plupart des morts enregistrés ont moins de quinze ans. On sait très peu de choses en fait sur le mode de transmission, l’OMS le reconnaît. Et c’est sur cette incertitude qu’elle fonde son alarmisme.

 

L’OMS gouverne par la terreur des pandémies

Un scénario analogue a été monté par l’OMS en 2014. Après quinze ans de grippes aviaires et d’autres pandémies respiratoires (en 2004, Shigeru Omi, directeur de l’OMS, avait évalué le fléau en cours à « cent millions de morts » possible), elle a jeté son dévolu sur la République démocratique du Congo, déjà, où la fièvre Ebola est apparue en 1976. Là aussi les voies de contamination étaient mal connues, là aussi la « pandémie » n’avait fait que peu de victimes (5.000), restant globalement circonscrite au bassin du Congo, mais le président Obama avait mis en scène durant des semaines quelques cas incompris aux Etats-Unis, pour donner à croire à un risque de catastrophe mondiale. Depuis vingt ans, à travers divers exercices d’ingénierie sociale dont le covid a été de loin le plus massif et le plus réussi, l’OMS tend à persuader les peuples du monde entier qu’ils se trouvent soumis à des menaces sanitaires globales dont seule une gestion mondialiste peut les mettre à l’abri.

 

L’argent n’est pas le maître, mais le contremaître du mondialisme

Elle a fabriqué à cet effet toute une lourde bureaucratie, avec des rapports et des alertes. Elle s’est assuré la complicité de gros laboratoires pharmaceutiques, auxquels sont passées des commandes fabuleuses : Pfizer et AstraZeneca ont fait de très gros profits avec le covid et ses vaccins, ce n’est pas Ursula Von der Leyen qui pourra dire le contraire. Et souvenons-nous des 95 millions de doses contre la grippe H1N1 (maladie qui s’était révélée bénigne en pratique) qu’avait achetées le ministre de la Santé Roselyne Bachelot, dont bien moins de 10 % furent utilisées ! Mais pas d’erreur : si « Big Pharma » se met de l’argent dans la poche, ce n’est pas elle qui mène la manœuvre. Le marché n’est pas le maître, seulement le contremaître des idéologues. Reste à savoir, alors, ce qui est recherché à travers l’intense propagande mondiale menée autour de la variole du singe.

 

Les pandémies peuvent servir à truquer les élections

Est-ce le confinement ? Certains ont relevé une étrange coïncidence : l’annonce de l’alerte sanitaire maximale survient en août 2024, trois mois avant les élections présidentielles américaines. Or, en 2020, le COVID avait révolutionné nos vies au même moment. Le confinement en particulier avait provoqué d’une part une forte hausse du vote par correspondance, qui, tous les observateurs en sont d’accord, a favorisé le candidat démocrate, il avait aussi interdit que les mécanismes ordinaires de contrôle des élections ne fonctionnent, ce qui laisse planer aujourd’hui encore le doute sur la régularité de celles-ci et sur la sincérité de leurs résultats. Sans doute le directeur pour l’Europe de l’OMS, Hans Kluge, assure-t-il que la variole du singe n’est pas « le nouveau covid » et qu’il n’est pas question aujourd’hui de confinement, mais on restera prudent, car l’OMS et les gouvernements nous ont montré qu’en matière de pandémies, la communication peut varier – c’est un euphémisme.

 

Variole du singe, OMS et scénarios du mondialisme

Une autre coïncidence a frappé les observateurs : l’annonce de « l’urgence de santé publique de portée internationale » par l’OMS le 14 août a suivi très exactement la fin de la « parenthèse enchantée » mondiale des Jeux Olympiques. Or le scénario mondialiste est régi par les règles de Hollywood : il ne doit pas y avoir de temps morts, ils permettent au cerveau de réfléchir, la sensibilité publique doit toujours être occupée, d’une catastrophe ou d’un plaisir dérivatif, mais occupée. Le covid est survenu précisément au moment où Greta Thunberg, ses marches pour le climat et ses bourdes d’adolescente (« elle voit le CO2 à l’œil nu ») commençaient à lasser le téléspectateur. Il se peut qu’il n’y ait pas de confinement, nous n’en savons rien encore. Mais il y aura autre chose. Vaccin, distanciation sociale, interdiction de prendre sa voiture, obligation de marcher de côté en portant un chapeau, n’importe lequel de ces exercices ridicules mais obligatoires qui développent l’esprit de corps et apprennent l’obéissance réflexe : les militaires, qui sont de profonds penseurs du gouvernement des hommes, nomment cela la marche au pas et l’ordre serré.

 

Pauline Mille