Violence à l’école : de la fabrique des crétins à celle des barbares

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Un adolescent entre la vie et la mort après avoir été tabassé à Viry Châtillon, une adolescente lynchée à Montpellier, l’école explose sous la violence. On commente, on parle des effets des réseaux sociaux, mais on remonte peu aux causes, l’immigration, la perte de l’autorité des maîtres, voulue et organisée comme celle des familles, depuis 1968, avec l’aide des médias et des gouvernements successifs influencés par l’idéologie faussement « progressiste », le tout sur fond de déchristianisation. Cependant le phénomène est si puissant que les médias ne peuvent plus cacher que le roi est nu : hier, sur France Info, il a été fait deux fois état de la montée de la violence en primaire. EN PRIMAIRE. Même si l’on constate que l’âge du primaire, à l’inverse du niveau, monte, la constatation donne froid dans le dos. C’est l’aveu d’un effondrement total, sans précédent. Les familles, les éducateurs, la société ont laissé s’installer la violence chez les enfants dès la communale, à l’âge où l’on joue aux billes. Il n’y a plus de sanctuaire. A quand le rackett et le meurtre à l’école maternelle ? Tout le monde est ici coupable, gauche et droite, socialistes qui se préparent des clientèles, multinationales qui souhaitent des clients faciles, mondialistes qui forment des ilotes dépourvus d’esprit critique. Hélas, l’affaire a tourné à l’aigre : la fabrique des crétins a fini par fabriquer des barbares. Tous les témoignages de jeunes, même choqués par les faits, concordent : ils regardent commettre, et laissent commettre, sans bien les comprendre, des actes de plus de plus en plus horribles, impensables chez un peuple civilisé.