Condamné pour viol en 1991, puis à nouveau en 2001 avec menace ou usage d’une arme, un homme de 38 ans avait alors pris 20 ans de réclusion criminelle assortie d’une peine de sûreté des deux tiers…
L’homme est considéré comme « dangereux » et présente « un profil pédophile », mais en décembre 2013, le juge d’application des peines décide de le placer sous surveillance judiciaire avec bracelet électronique.
Ce matin, il a arraché ce bracelet, et court toujours.
Serait-ce l’avenir proposé par la réforme pénale ?