Agressions sexuelles contre des femmes en Allemagne par une bande de réfugiés mineurs

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Armés de bouteilles de bière et de champagne, trois réfugiés mineurs s’en sont pris samedi à Hildesheim, au petit matin, à plusieurs femmes allemandes, essayant de les embrasser de force, de les toucher et de les violer. Aux moins cinq femmes ont fait l’objet de ces agressions sexuelles en bande de la part de demandeurs d’asile adolescents. Agés de 16 ou 17 ans, les jeunes sont hébergés dans un hôtel de la ville, transformé en centre d’accueil, rapporte la presse locale en Allemagne.
 

Bande de réfugiés mineurs et violeurs en Allemagne

 
Les victimes étaient des jeunes femmes âgées de 18 à 21 ans déambulant dans la ville aux alentours de 3 heures du matin. La bande de migrants s’est approchée d’elles, leur parlant en anglais. Ils ont essayé de les coincer pour les empêcher de fuir. Ils n’ont pas seulement tenté de les embrasser : par les gestes et les regards, ils ont clairement signifié qu’ils cherchaient à avoir des relations sexuelles avec elles.
 
Dès l’instant où les jeunes femmes ont montré qu’elles s’y refusaient, résistant vigoureusement, les « réfugiés » sont devenus violents. Ils les ont frappées au visage et leur ont peloté les fesses ; l’une des victimes a même reçu des coups de pieds au ventre. Comme elles résistaient toujours les jeunes les ont menacées de leur briser des bouteilles d’alcool sur la tête.
 
Les jeunes femmes n’ont dû leur salut qu’à l’intervention de trois hommes qui se trouvaient dans la rue à ce moment-là et qui ont vu le manège des migrants. Ils n’ont pas seulement appelé la police, ils se sont physiquement interposés pour protéger les Allemandes – leurs compatriotes sans doute – et ont à leur tour essuyé les coups des voyous surexcités jusqu’à ce que les forces de l’ordre arrivent.
 
Que des hommes – restés anonymes – aient réagi pour venir aux secours de ces jeunes femmes en péril, alors que les récits abondent d’agressions au cours desquelles les spectateurs autochtones restent impassibles ou détournent les yeux, indique peut-être un changement d’humeur de la population en général : une irritation croissante face à des comportements insupportables et de plus en plus arrogants de la part de jeunes qui sont supposés être en Allemagne pour éviter d’être eux-mêmes des victimes dans leur pays d’origine.
 
Deux des trois agresseurs – un Afghan âgé de 16 ans et un Iranien de 17 ans –ont pu être arrêtés par les forces de l’ordre ; le troisième a réussi à prendre la fuite et la police est toujours à sa recherche.
 
Les deux jeunes étaient visiblement ivres et l’un d’entre eux a même perdu connaissance pendant l’interrogatoire, vraisemblablement en raison de problèmes circulatoires dus à l’alcool.
 

Agressions sexuelles de prostituées ?

 
Alors que les agressions sexuelles se multiplient de la part des migrants arrivés depuis la grande ouverture des frontières décidée l’an dernier par Angela Merkel, surtout en Allemagne, en Autriche et en Suède – une dizaine de femmes ont subi de telles attaques à Essen en Allemagne cette dernière fin de semaine à l’occasion d’un festival – certaines forces de l’ordre leur cherchent toujours des excuses. Ainsi la police suédoise a-t-elle suggéré récemment que les agressions sexuelles ne sont pas imputables aux migrants en tant que tels, mais à la « culture de la boisson alcoolisée » propre à l’Europe.
 
Serait-ce donc l’Europe qui avilit les braves et innocents réfugiés venus ici avec leur légendaire respect des femmes ? On n’y croit pas une seconde ! Une connaissance même succincte de leur culture islamique d’origine ferait comprendre aux forces de l’ordre que la femme occidentale, aux mœurs libérées et à l’habillement non « halal », est considérée d’office comme une prostituée qui n’a que ce qu’elle mérite, voire ce qu’elle demande quand elle est agressée…
 

Anne Dolhein