Il aura fallu peu de temps avant que les vagues migratoires massives de ces dernières semaines se transforment en sources de violence inouïe dans les pays d’accueil. Depuis plusieurs jours, l’Allemagne, pays en pointe dans l’accueil irraisonné des « migrants », est le théâtre de violences toujours plus inquiétantes entre différents groupes ethniques, mais également à l’encontre des femmes et des chrétiens. Désormais, police et associations accusent les autorités de taire l’augmentation des violences et des viols commis par les clandestins.
La police allemande a récemment averti que la violence qui s’exprime à l’intérieur comme à l’extérieur des centres d’asile est désormais hors de contrôle : des dizaines de personnes ont déjà été blessées dans des affrontements communautaires ou ethniques.
Multiplication des violences à proximité des centres d’accueil de clandestins en Allemagne
Plusieurs réfugiés chrétiens ont par ailleurs témoigné de violences à leur égard dans les camps de réfugiés. Certains ont même décidé de rentrer dans leur pays d’origine ou de fuir les centres d’accueil après avoir reçu des menaces de mort. De nombreuses autorités, notamment policières, ont préconisé la séparation entre chrétiens et musulmans, ce que le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière, a jugé « inacceptable », faisant fi de toute réalité.
Le constat est le même dans de nombreuses villes allemandes : les rixes se multiplient et les centres d’accueil sont toujours plus remplis. La spirale infernale ne peut s’arrêter.
A titre d’exemple, en Rhénanie du Nord-Westphalie, la police a été appelée près de 1.000 fois en août. Le responsable du second plus gros syndicat allemand de police décrit cette situation comme « le plus grand défi dans l’histoire d’après-guerre ».
En réaction, les manifestations anti-immigration se multiplient dans le pays, drainant toujours plus de monde.
Les autorités accusées de taire les viols et agressions sexuelles en constante augmentation
Thomas de Maizière a appelé les Allemands à ne pas écouter les folles « rumeurs » qui courent sur la toile à propos de ces clandestins. En cause, un nombre croissant d’accusations de viols et d’agressions sexuelles dans les centres de réfugiés ou aux alentours.
Plusieurs syndicats de police ainsi que quelques associations de défense des femmes sont pourtant montés au créneau, accusant les autorités allemandes de taire ces crimes par intérêt politique et par peur de provoquer un plus grand rejet de ces vagues migratoires incessantes.
Pour continuer à mener sa politique destructrice du pays, c’est la vérité que le gouvernement allemand a choisi de sacrifier.
« Certaines choses méritent d’être critiquées », a vaguement reconnu Thomas de Maizière sans autre précision, « mais il n’y a aucune raison de faire peser une suspicion générale sur l’ensemble des réfugiés », s’est-il empressé d’ajouter.
La police et des associations accusent ; les autorités laissent les frontières grandes ouvertes
« Le ministre de l’Intérieur serait bien avisé de jeter un coup d’œil sur ses propres rapports afin de savoir ce qui se passe exactement le soir dans nos rues et dans les centres d’accueil », a répondu Rainer Wendt, responsable d’un syndicat de police.
Un constat partagé par un certain nombre d’associations : « Nous avons reçu plusieurs rapports dignes de confiance à propos d’agressions sexuelles et de viols de la part de victimes, comme de groupes consultatifs ou d’ONG », a expliqué Barbara Helfrich, membre de l’association caritative Paritaetischer Bund. Plusieurs associations ont rédigé une lettre ouverte pour sensibiliser au nombre croissant de viols, d’agressions sexuelles et de réseaux de prostitution organisés dans les centres d’accueil de clandestins. Là encore, plusieurs personnes ont réclamé la séparation des hommes et des femmes dans les centres… Les autorités restent sourdes et muettes sur le sujet.
La situation est plus explosive que jamais, et les frontières toujours béantes.