L’Open Society Foundation de George Soros est devenue la deuxième institution « caritative » des Etats-Unis par l’importance de ses dotations depuis que le milliardaire d’origine hongroise lui a versé, tout récemment, la coquette somme de 18 milliards de dollars. Il s’agit là du plus gros de la fortune de l’agitateur de gauche, 87 ans, qui assoit ainsi, et pour longtemps, le pouvoir d’un organisme qui a pour objectif l’internationalisme sans frontières et la promotion de la culture de mort.
Avec de tels actifs, on peut dire que l’Open Society Foundation est bien armée pour jouer un rôle de poids au niveau des Etats souverains en finançant une propagande de terrain tous azimuts renforcée, au demeurant, par sa parfaite cohérence avec les objectifs des grandes institutions mondialistes.
18 milliards de dollars pour faire de l’Open Society Foundation la deuxième association « philanthropique » des Etats-Unis
Lorsqu’on sait que la fondation la plus riche des Etats-Unis, la Bill & Melinda Gates Foundation, derrière laquelle se place désormais l’Open Society Foundation, est elle aussi active dans la promotion de l’avortement et de la contraception, on comprend mieux la facilité avec laquelle des pays restés jusqu’ici encore des bastions du respect de la vie, comme l’Irlande ou le Chili, tombent aujourd’hui dans le camp du refus de la loi de Dieu. Ses adversaires y mettent le prix.
Le montant fabuleux de 18 milliards de dollars servira à faire avancer des buts clairement identifiés, et présentés comme « philanthropiques » par leurs partisans. Soros assure depuis des décennies les fournisseurs d’avortement de revenus faciles ; il est leur « distributeur de billets », constate Liz Yore de
La Nuova Bussola Quotidiana, garantissant aussi la bonne santé financière d’institutions environnementalistes qui dissimulent à peine leur volonté de contrôler et de réduire la population mondiale.
Parmi ses cibles de choix : l’Eglise catholique et ses doctrines traditionnelles. Le milliardaire de gauche est connu pour ses subventions à des groupes progressistes tels les Catholics for Choice (catholiques pro-avortements). Wikileaks révélait en 2016 que Soros avait dépensé 650.000 dollars en frais de lobbying auprès des évêques américains lors de la visite du pape François, rappelle LifeSiteNews. Ses associations se sont notamment vantées d’avoir obtenu de plusieurs évêques qu’ils « soutiennent de manière plus audible les messages de justice économique et raciale afin de commencer à mettre en place une masse critique d’évêques alignés sur le pape ».
George Soros verse la plus grosse part de sa fortune à l’Open Society Foundation
Ses acolytes « peuplent le Vatican », assure Liz Yore. De fait, les environnementalistes – même ceux qui prônent ouvertement la réduction de la population mondiale – ont aujourd’hui le vent en poupe lors des rencontres romaines, depuis Joachim Schellnhuber à Jefffrey Sachs en passant par Michelle Bachelet, la présidente chilienne qui vient de faire légaliser l’avortement dans son pays, et même Paul Ehrlich, auteur du très controuvé Population Bomb : tous sont venus ou viendront parler (début novembre) devant l’Académie pontificale pour les sciences sur le territoire du Vatican sur les manières de protéger « la Planète ».
« Mariage » gay, avortement, protestations contre Trump, création d’une base de dénonciation des « crimes de haine » aux Etats-Unis, agit-prop en Hongrie où il finance plus de 60 ONG, George Soros a déjà dépensé des dizaines et des centaines de millions de dollars au service de ses idées.
La lutte pour le bien sera toujours celle de David contre Goliath…