C’est la proportion des lycéens américains qui se disent transgenres, selon le centre fédéral de contrôle et de prévention américain (US Centers for Disease Control and Prevention, CDC). Et en plus, 2,2 % se « posent des questions » sur leur sexe. Tous les ans, le CDC recueille les données significatives sur les trois dernières années des « high schools » (15-18 ans) dans les cinquante Etats. Par ethnies, les Blancs sont les plus transgenres et se posent le plus de questions, les Noirs les plus tranquilles. Il ne faut pas confondre ce ressenti, purement déclaratif, et qui semble gonflé par la propagande arc-en-ciel permanente subie par les élèves, avec le diagnostic médical de dysphorie de genre. En 2021, sur 40 millions d’enfants et d’adolescents américains, 42.000 furent diagnostiqués ou identifiés transgenres, soit 0,1 %, soit une grosse augmentation depuis 2017 (0,038 %), mais très loin de 3,3 %.