Le Labour met de l’eau dans son vin sur la voiture électrique, en pleine confusion

Labour vin voiture électrique
 

Le ministre britannique de l’Industrie, Jonathan Reynolds, a essayé un exercice de grand écart auprès des industriels de l’automobile en reconnaissant que la transition vers l’électrique ne s’était pas passée « comme on s’y attendait », et qu’il fallait « un peu de pragmatisme », tout en rappelant que l’exigence du Labour de passer entièrement à l’électrique dès 2030, et non plus en 2035 comme le conservateur Rishi Sunak l’avait suggéré, n’était pas négociable. Comment sortir de la contradiction ? Par quels « aménagements » ? Vraisemblablement par des subventions gagées par des impôts : le contribuable sera appelé à sauver l’automobile que le Net Zéro aura mis auparavant au bord de la ruine.