S’exprimant au forum « Grand héritage, avenir commun » de l’Assemblée parlementaire de l’Etat uni de Russie et de Biélorussie, le président russe a appelé l’Eurasie à devenir « un espace de paix et de stabilité, un modèle de développement durable sur le plan économique social et humanitaire ».
On connaît les ressorts du discours antiraciste, promu ici par Poutine et qui avait déjà cours au temps de l’URSS. Poutine reprend aussi l’idée du « nazisme » collé à la peau de tout adversaire qu’on veut combattre…
Il exalte en même temps la « multipolarité » et un plaidoyer contre les divisions entre les races, les groupes ethniques et les religions.
Ou l’art de faire de la dialectique tout en prêchant l’unité et en assurant la promotion d’un grand bloc.