77.000 banques, dont plusieurs française, suisses ou anglaises, ont formellement accepté de collaborer avec les Etats-Unis dans le cadre d’une nouvelle loi soi-disant « destinée à lutter contre l’évasion fiscale ».
Cette loi obligera, sous peine de sanctions, les banques étrangères à informer l’administration américaine de la présence, parmi leurs clients, de personnes imposables aux Etats-Unis et détenteurs de comptes supérieurs à 50.000 dollars.
Un flicage en règle, auquel les banques de 70 pays se plient sans broncher. Par peur de subir le sort de BNP Paribas…