
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, avait plusieurs fois pris la défense de Najat Vallaud-Belkacem depuis sa nomination dans l’institution, déclarant pas exemple en juillet dernier que ses engagements, notamment à France Terre d’Asile, n’étaient « pas incompatibles » avec son poste.
Mais depuis les derniers propos de l’ex-ministre des Droits des femmes sur la régularisation d’immigrés, Moscovici a viré sa cuti et saisi contre elle le comité déontologique de la Cour des comptes.
Pierre Moscovici a expliqué qu’« en plein examen budgétaire, ce genre de déclaration peut apparaître pour le moins décalé » ; il a ajouté : « Les règles de déontologie à la Cour des comptes valent pour tout le monde. Je ne suis pas son copain, je suis son président. »










