Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Navi Pillay, a exprimé mercredi sa préoccupation face au manque de transparence des politiques et des pratiques des gouvernements concernant la surveillance des citoyens à leur insu et sans leur approbation. Mais pour parer à cette « menace pour le droit à la vie privée », il préconise que l’ONU en décharge les services secrets nationaux, donc qu’elle s’en charge à terme. Un appel discret au flicage et la gouvernance mondiaux.