Un détenu de la prison de Saint-Quentin Fallavier, près de Grenoble, avait attaqué le directeur coupable de ne pas servir régulièrement de viande hallal au menu.
Le sept novembre 2013, le tribunal de grande instance lui avait donné raison condamnant la prison à remédier à cette carence dans un délai de trois mois. La cour d’appel vient d’infirmer ce jugement, étant donné que les détenus bénéficient déjà « de repas sans porc ou de repas végétariens, de la possibilité de disposer de repas adaptés lors des principales fêtes et de la possibilité d’obtenir de la viande hallal par l’intermédiaire de la cantine ».
On aimerait connaître les droits culinaires d’un détenu chrétien dans les prisons indonésiennes.