Une étude post-mortem de l’université d’Exeter en Grande-Bretagne laisse à penser que des processus affectant l’expression du matériel génétique sont liés à la maladie d’Alzheimer, soit qu’ils la provoquent, soit qu’ils en résultent. Les chercheurs ont constaté un changement chimique de l’ADN sur le gène ANK1. La bonne nouvelle c’est que les changements épigénétiques sont potentiellement réversibles.