C’est le nombre de futurs médecins qui vont être formés en Europe dans les trois prochaines années aux « risques médicaux engendrés par le changement climatique » dans un réseau de 25 facultés de médecine répandu sur 12 pays et dirigé par l’Université de Glasgow en Grande-Bretagne. Le propos est de convaincre les populations que l’enseignement actuel de la médecine ne prend pas suffisamment en compte l’incidence du « changement climatique » sur la santé : en 2020, selon des statistiques tirées de nulle part, seuls 15 % des facs de médecine l’intégraient dans leurs cours. Et de citer à l’appui de cette nouvelle initiative le prétendu surcroît de décès qui serait lié à ce « changement climatique », où figurent les « maladies liées aux moustiques », dont on sait précisément qu’elles sont dues à l’interdiction du DDT et à l’immigration de masse. La propagande sur le « changement climatique » passe par tous les canaux imaginables.