Selon l’Institut national des statistiques, il devait pourtant être relevé à 4,8 %, du fait du passage au nouveau système européen de comptes qui a amené le pays à inscrire dans son budget la dette de certaines entreprises publiques. Lisbonne a néanmoins réussi à négocier avec la troïka de ses créanciers (UE-FMI-BCE) pour le maintenir à 4 %.