Plusieurs études scientifiques menées depuis trente ans montrent que de nombreux risques psychologiques et médicaux sont associés à l’homosexualité. Un résultat crucial quand la question de l’homosexualité agite l’Eglise après que certains père Synodaux sont tentés d’abandonner l’enseignement catholique pour prôner une « normalisation » de l’homosexualité…
La première étude, menée en 1985 et intitulée « The Male Couple: How Relationships Develop » a montré que seules 7 des 156 paires homosexuelles étudiées avaient une relation sexuelle exclusive et que la majorité des relations duraient moins de cinq ans. La multiplication des partenaires sexuels entraîne donc des risques de contracter une maladie sexuellement transmissible, pendant que les séparations augmentent la « détresse émotionnelle ».
Une autre étude réalisée en 2010 (Comparative Relationship Stability of Lesbian Mother and Heterosexual Mother Families: A Review of Evidence), montre que l’instabilité est également bien plus forte chez les « mères » lesbiennes que chez les mères « hétérosexuelles ». Une autre étude américaine réalisée la même année montrait que 40% des lesbiennes qui avaient eu un enfant grâce à une PMA s’étaient ensuite séparées.
En 2011, une étude (The Association between Relationship Markers of Sexual Orientation and Suicide: Denmark, 1990-2001) réalisée au Danemark analysait l’incidence de l’orientation sexuelle sur le suicide et concluait à la nocivité de l’homosexualité en la matière. Elle révèle que les hommes homosexuels « mariés » se suicidaient huit fois plus que les hommes mariés à des femmes.
Parmi les autres études scientifiques, signalons encore celle que le journal Cancer a publiée en 2011. Menée en Californie (Cancer Survivorship and Sexual Orientation) elle révèle que les homosexuels ont deux fois plus de risques que les hétérosexuels de contracter un cancer.
En 2002, une étude révélait que 7% des hétérosexuels avaient été violés par des hommes tandis que ce pourcentage s’élève à 39% chez les homosexuels. (Battering victimization among a probability-based sample of men who have sex with men). Une autre étude menée en 2007 montrait que 32% des homosexuels affirmaient avoir été violés par un ou plusieurs de leurs partenaires, et que ces violences les avaient rendus dépressifs ou les avaient amenés à se droguer.(Intimate Partner Abuse Among Gay and Bisexual Men: Risk Correlates and Health Outcomes)
En 2012, deux chercheurs se sont penchés sur la violence présente dans les « couples » d’hommes. Les auteurs déplorent que « es violences psychologiques, physiques et sexuelles atteignent des proportions alarmantes chez les paires d’hommes » (Intimate Partner Violence Among Men Who Have Sex With Men: A Systematic Review)…
Tous ces résultats convergents devraient éclairer l’Eglise sur le rôle qu’elle peut jouer en reconnaissant et accompagnant cette détresse plutôt que d’encourager une pratique sexuelle dangereuse à plusieurs égards…