La France avait déjà permis le 1er janvier dernier la levée de restrictions à leur entrée sur le marché du travail français. Plus aucun contrôle de passeport ne sera fait entre ces deux pays et le reste de l’Europe : une aubaine pour les Roms mais surtout pour tous les clandestins turcs parvenus à entrer en Bulgarie et en Roumanie.
C’est le ministre Allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, qui confiait au Daily Express : « Nous sommes prêts à entamer le processus de discussion.
La situation sécuritaire a changé mais nous allons continuer à travailler dur pour que les pays qui restent en dehors de l’espace Schengen puissent remplir les conditions d’adhésion. »