Le président américain Barack Obama, en bon socialiste, ne se considère jamais comme le président de tous, mais bien de ceux qui lui vouent un culte. Il vient de le démontrer à nouveau en exprimant son désir de faire changer la manière donc les médias traitent l’actualité, et la question de la pauvreté.
Obama veut charger les médias
Alors qu’il attaquait la chaîne de télévision Fox News, faisant semblant de défendre les pauvres et critiquant la pensée des représentants républicains, le président Obama a déclaré : « Nous allons devoir changer la manière dont notre corps politique pense, ce qui signifie que nous devrons également changer la manière dont les médias traitent la question. »
Cette déclaration stupéfiante, que ne renieraient ni Lénine, ni Staline, ni Trotski ni la Pravda, met en exergue la dimension totalitaire atteinte par le pouvoir américain et le socialisme qui prévaut maintenant Outre-Atlantique.
Obama se place en défenseur des pauvres contre les médias qui critiquent sa politique d’assistanat
Obama s’en prenait à la manière dont la chaîne de télévision Fox News traite l’assistanat dont profitent certains, et qu’entretient son administration.
Tellement préoccupé par les pauvres, il n’a cessé de les multiplier depuis son accession à la présidence américaine.
Mais il ne faudrait pas oublier qu’Obama ne connaît absolument rien de la pauvreté tant sa vie a toujours été celle d’un privilégié.
Elevé dans les meilleures écoles primaires, il a ensuite passé son adolescence chez des grands-parents aisés à Honolulu où il fréquentait la très chic école privée de Panahou. Ses grands-parents avaient tous deux un niveau de formation très élevé ; sa grand-mère était même vice-présidente d’une banque.
Obama aime les pauvres dépendants de l’Etat, et voudraient que les médias en fassent autant
Barack Obama a même eu la chance d’avoir une bonne d’enfant. Il a fréquenté l’Occidental College en Californie, avant d’entrer dans les plus prestigieuses universités du pays : Columbia et Harvard.
La seule fois où Obama a pu vaguement approcher ce qui ressemble à de la pauvreté, c’est lorsqu’il a été organisateur communautaire à Chicago. Et encore, les pauvres n’étaient que des pions qu’il plaçait pour servir ses ambitions politiques.
Après 7 ans de présidence, Obama se fiche des pauvres, sans quoi il modifierait sa politique économique, objectivement désastreuse.
Mais Obama aime les pauvres lorsqu’ils sont dépendants de l’Etat. Comme il aime les médias dépendants, qui répètent ce qu’il souhaite entendre. Et comme il peut maintenant se permettre de la déclarer ouvertement.