Joe Biden confirme le Grand Remplacement aux Etats-Unis

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Dans une déclaration publique, le président américain Joe Biden a déclaré : « Nous allons devenir – très vite – un pays à minorité blanche européenne. » Il confirme ainsi la prophétie qu’il avait lancée en 2015 alors qu’il était vice-président le Barack Obama : « Un courant d’immigration insurmontable, encore, toujours, va faire des Blancs une minorité absolue aux Etats-Unis. » La gauche démocrate a le droit de constater le Grand Remplacement de population en cours, en même temps qu’elle le dénonce comme une « théorie conspirationniste » utilisée par les Républicains.

 

Un grand remplacement inéluctable, selon Biden

Biden a ajouté, dans un entretien publié samedi dernier : « Parfois mes collègues démocrates ne parlent pas assez du phénomène : il faut affirmer clairement que cela ne changera pas quelle que soit notre politique. » Ce n’est donc plus une « théorie conspirationniste marginale remise à la mode par le Grand Old Party » comme titrait en 2018 le New York Times ! Joe Biden en confirme la validité parce qu’il cherche pour la prochaine présidentielle le vote de l’électorat de la classe moyenne blanche. Il a d’ailleurs ajouté que la minorité blanche des futurs Etats-Unis devrait être traitée « avec respect », ce qui suggère que ce n’est pas toujours le cas.

 

Comment les Etats-Unis discriminent les Blancs

Et en effet, les propres amis politiques de Joe Biden ne cessent d’attaquer la population blanche tant avec la théorie du « privilège blanc » qu’en dénonçant à tout bout de champ de prétendu « suprémacisme blanc », ou encore en menant sans discontinuer des politiques anti-blanches sous le nom d’« affirmative action » (discrimination positive), avec les quotas que cela suppose, ou encore sous le nom d’« équité », qui n’est qu’un euphémisme pour la discrimination jugée politiquement correcte par la gouvernement. Non seulement les démocrates et Joe Biden ont organisé le grand remplacement qu’ils constatent, mais, par leur discours, ils ont mis en place les conditions psychologiques d’une guerre civile.

 

Le Grand Remplacement connu et souhaité par les dirigeants

Au demeurant, depuis que Valéry Giscard d’Estaing, alors ancien président de la république française, a fait publiquement en 1991 la distinction entre « l’immigration » que l’on a connue au début et au milieu du vingtième siècle, et « l’invasion » qui a commencé depuis, tous les hauts dirigeants d’Europe et des Etats-Unis savent pertinemment que le Grand Remplacement est un fait, non une théorie. Un fait massif et déterminant. Le commissaire européen chargé des affaires étrangères Josep Borell le juge « nécessaire » afin de donner « un sang neuf » à l’Europe, le président Sarkozy a affirmé qu’il aurait lieu « quoi qu’il arrive » et le président américain Barack Obama a estimé en 2015 que son pays devenait « de plus en plus un pot-pourri de peuples », ce qui allait abattre le conservatisme, il « l’espérait ». Il y a quelque chose qui n’est pas clair ?

 

Pauline Mille