L’instance inférieure n’a pas commis d’erreur de jugement en bloquant cette décision exécutive, a-t-elle décidé, soulignant qu’il s’agissait de faire respecter l’état de droit et la Constitution américaine.
« Le travail du Président, c’est de mettre en œuvre les lois sur l’immigration, et non de les réécrire », précise le jugement.
L’attorney general du Texas, Ken Paxton, a commenté : « Aujourd’hui, le 5e Circuit a affirmé que la séparation des pouvoirs demeure la loi en vigueur, et que le président doit respecter l’état de droit, comme n’importe qui. Tout au long de ce processus, l’administration Obama a eu un mépris agressif à l’égard des limitations constitutionnelles du pouvoir exécutif, et le Texas, à la tête d’une procédure engagée par 26 Etats, a obtenu une victoire importante pour mettre fin à l’illégalité des actions du président. »