C’est ce qu’ont démontré les recherches menées à l’Université Brown, aux États-Unis. Au lieu d’utiliser les forces aérodynamiques propres à tout corps volant, c’est bien la masse importante des ailes des chauves-souris qui leur permet de s’accrocher à l’envers pour se poser. Tel un plongeur qui utilise ses bras pour amorcer une vrille ou un salto, le repliement d’une des ailes permet la rotation du corps et son positionnement à l’envers.
Cette découverte permet d’envisager de nouvelles perspectives dans le développement des drones et des micro-machines volantes.
Elle oblige à réfléchir aussi au « dessein intelligent » que l’on constate, émerveillé, dans la Création…