Quelques scientifiques russes, fervents défenseurs des thèses du réchauffement global étaient partis pour l’Antarctique afin de montrer au monde combien le « réchauffement climatique » faisait de ravages dans la région. Ironie du sort, leur navire a été pris par les glaces, particulièrement massives cette année. Un navire australien parti à leur secours a dû faire demi-tour, lui aussi menacé de se trouver bloqué.
La météo n’est apparemment pas le fort de ces climatologues, ce qui est une revanche de l’esprit rationnel : les phénomènes dont ils traitent sont d’une nature telle (les scientifiques disent « chaotique ») qu’ils ne sauraient être sérieusement prévus à plus de quinze jours. Mais peut-être leur expérience instruira-t-elle ces militants : les Nations Unies, très en pointe sur le « réchauffement climatique », ont elles-mêmes admis que les données sur lesquelles on prétendait appuyer ledit réchauffement sont muettes depuis 17 ans·