Après avoir orchestré de bout en bout la crise migratoire par le chaos au Proche-Orient, l’oligarchie mondialiste s’en sert maintenant pour imposer davantage de mondialisme et d’étatisme : le fameux Nouvel Ordre Mondial. Que ce soit l’Europe, l’Afrique ou le Proche-Orient, toutes ces parties du monde se trouvent dans la ligne de mire du milliardaire George Soros, du think-tank soi-disant « non partisan » qu’est le Council on Foreign Relations (CFR), et d’autres promoteurs du gouvernement mondial. Après être parvenues à éradiquer ce qui reste de souveraineté nationale dans ces régions, ces forces cherchent à donner davantage de pouvoir aux institutions supranationales telles que l’ONU, l’UE, l’Union Africaine ou encore l’Union Proche-Orientale.
Pour imposer le Nouvel Ordre Mondial, exploiter les crises et les peurs
Le milliardaire mondialiste et protégé de la dynastie de banquiers Rothschild, George Soros, a joué un rôle essentiel en encourageant les différents conflits qui ont engendré la déferlante de réfugiés vers l’Europe. Des premières masses d’immigrés qui ont pris la route de l’Europe au mois de juin aux agressions sexuelles de Cologne et d’autres villes européennes ces dernières semaines, toutes les conditions sont réunies pour entretenir la frayeur chez les « autochtones ». Voici que Soros sonne le tocsin en affirmant que « l’Europe est sur le point de s’effondrer ». Mais ce n’est pas un hasard s’il est aussi le pourvoyeur de « solutions », celles d’un mondialisme accru en Europe, en Afrique et au Proche-Orient, qui va de pair avec la perte de la liberté.
Un nouveau « Plan Marshall », avec des milliards à la clef
La tactique de cet ennemi invétéré des nations souveraines rappelle étrangement celle du Plan Marshall d’après-guerre. Elle va dans le sens d’un autre mondialiste au cœur du système, le ministre allemand des finances, Wolfgang Schäuble. Celui-ci imagine ouvertement un nouveau « Plan Marshall » qui permettra de transférer l’argent des contribuables européens déjà exsangues vers les pays ruinés par les machinations des mondialistes.
Lors du dernier Forum économique mondial de Davos, Schäuble a déclaré que « le plus important est que nous investissions des milliards dans ces régions (Libye, Syrie, Irak, Afghanistan, etc.) d’où sont issus les réfugiés afin de réduire la pression sur les frontières extérieures de l’Europe ». Il avait déjà proposé une taxation mondiale en 2014 dans l’organe de propagande Project Syndicate, financé par Soros.
Dans l’Europe d’après-guerre, les 150 milliards dollars (constants) du Plan Marshall ont servi à transformer l’Europe en région inféodée à l’oligarchie mondialiste et aux institutions supranationales. L’apothéose fut l’assujettissement des peuples européens au super-Etat de l’Union Européenne. Il n’y a pas de raison que cela change.
George Soros et le CFR utilisent la crise des migrants née de manipulations mondialistes
Ce sont les mêmes promoteurs de ce nouveau « Plan Marshall » qui veulent imposer une Union Proche-Orientale (Middle Eastern Union) – encore un pas vers la gouvernance globale. Arabes, Turcs et Kurdes pourraient bénéficier ainsi d’une même paix que celle instaurée grâce à l’Union européenne, afin d’éradiquer le terrorisme, la pauvreté, le chômage, le sectarisme, la pénurie d’eau et bien entendu les crises migratoires, actuelles et futures. La rhétorique mondialiste le répète sans fin pour mieux en convaincre ceux qui l’entendent : « Aucun pays ne peut résoudre ses problèmes par lui-même. »