Après avoir invité l’Iran à participer à la conférence de paix en Syrie, appelée Genève II, Ban Ki Moon a finalement annoncé qu’il n’y était pas convié. Un retournement lié au refus officiel de l’Iran de soutenir un gouvernement de transition en Syrie, condition posée par la France, le Royaume-Uni et les Etats-Unis, alors que, selon le secrétaire général de l’ONU Téhéran aurait accepté lors de conversations secrètes.
C’est donc l’ONU qui décide de qui vient ou ne vient pas, qui parle ou ne parle pas, sans égard pour la réalité sur le terrain ni sur le droit des peuples·