Un nouveau rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement publié jeudi estime qu’il est possible grâce au leadership politique, à des promoteurs et à des engagements de haut niveau s’ajoutant aux actions locales, d’éviter la pollution et d’arriver un jour à une « planète sans pollution ». Le rapport a été lancé lors de la convention Minamata sur le mercure (intéressant machin, alors que les ampoules économes qui ont d’autorité remplacé les bonnes vieilles ampoules à incandescence introduisent du mercure partout).
La pollution a été présentée comme une menace particulière pour les pauvres et les vulnérables et les pays riches sont une nouvelle fois pointés du doigt.
Et tant pis si ce sont des pays communistes ou émergents qui favorisent toujours la dissémination d’éléments toxiques et dangereux faute d’action préventive, tandis que de nombreux pays riches sont nettement moins polluants qu’il y a un siècle…