C’est ce qu’affirment les épouses de plusieurs responsables des gangs principalement composés de musulmans originaires du Pakistan et d’ailleurs qui ont abusé de nombreuses jeunes adolescentes britanniques « de souche » au moyen de la manipulation psychologique.
« Elles sont pourrries. C’est leur façon de s’habiller. Elles n’ont pas de pudeur, elles ne craignent pas Allah », a ainsi déclaré la femme d’un violeur actuellement en prison. « C’est aux filles de faire attention. Elles lui ont fait quelque chose, peut-être de la magie. Moi je suis seule, pas d’argent, pas de vie. »
Plusieurs femmes de violeurs ont ainsi été interrogées par le Mail on Sunday ; toutes avouent avoir été malmenées par leurs maris, qui les traitaient comme des objets et à qui elles n’avaient pas, islam oblige, le droit de dire « non ». Seules deux d’entre elles se sont cependant dites prêtes à condamner le viol des victimes blanches.
D’où vient ce manque d’empathie ? « Cela ne pourrait arriver à nos propres enfants parce qu’elles ne sont pas dans les rues. Nous en prenons soin. »