L’administration Obama met au point un accord de changement climatique international visant à contraindre les nations à réduire leurs émissions de combustibles fossiles accusés de polluer la planète. Il pourrait être ratifié lors des négociations internationales prévues à Paris en 2015.
La constitution américaine soumet un tel traité à l’approbation des deux-tiers du parlement américain, ce qu’Obama ne peut obtenir en raison de l’opposition des députés républicains de plus en plus sceptiques sur la responsabilité humaine dans le réchauffement global.
Une fois de plus donc, l’administration tente de se passer du parlement en faisant adopter cet accord par le pouvoir exécutif.