Le gouvernement ukrainien doit en effet des milliards de dollars à divers investisseurs, basés aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, mais également en Russie, en même temps qu’elle engage d’importantes dépenses militaires en raison de l’action de cette dernière.
En attendant de nouveaux prêts du Fonds monétaire international (FMI) qui doivent servir de socle à un programme de soutien de 40 milliards de la « communauté internationale », voilà donc qu’elle tente de renégocier les sommes qu’elles doit à la haute finance internationale, deux fois gagnante : par le biais des intérêts perçus et par celui des ventes d’armes.