Le chancelier a approuvé avec force un programme de surveillance du nombre de messages « racistes » sur Facebook, Twitter, YouTube et assimilés mis en place par le ministre de la justice fédéral, Heiko Maas, et le ministre de l’Intérieur Thomas de Maiziere.
Elle a déclaré espérer qu’ils « feront tout » pour mettre fin à ces « choses incompatibles avec la dignité humaine ». Tout, y compris censurer Internet ?
En Allemagne comme en France, l’« antiracisme » a moins pour objectif de poursuivre de vrais délits comme l’injure et la diffamation que d’empêcher les commentaires, actes et attitudes négatifs sur l’immigration ou favorables à une préférence nationale.