La socialiste Michelle Bachelet a été investie mardi pour un second mandat à la tête du Chili. L’occasion pour elle de promettre encore plus de socialisme en déclarant : « le Chili a un seul grand adversaire, il s’appelle inégalité » avant de s’engager à rendre son pays « différent et beaucoup plus juste ».
Le Chili souffre pourtant de bien de maux réels, comme des demandes sociales urgentes et un ralentissement de l’économie que la lutte contre l’épouvantail des « inégalités » va précisément renforcer, dans un cercle vicieux socialiste pourtant archiconnu·