La Commission européenne souhaite que la Suisse participe à l’avenir à la clé de répartition permanente des réfugiés, en tant qu’Etat associé aux accords de Dublin. Elle l’a décidé jeudi en prévoyant de créer un mécanisme de répartition permanent et contraignant – notamment pour la Suisse, l’Islande, la Norvège et le Liechtenstein qui les ont signés, alors qu’ils ne font pas partie de l’UE.