Les cerveaux psychopathes ne réagissent pas à la punition

Une nouvelle étude d’imagerie cérébrale réalisée à l’Université de Montréal et au King’s College de Londres montre que les criminels psychopathes sont réfractaires à la punition qui ne produit pas chez eux les mêmes effets que chez des sujets sains. En cause : une différence de schéma cérébral.
La politique pénale actuelle qui déprécie le châtiment est donc uniquement adaptée à leur cas : les criminels sont tous traités comme psychopathes. Pourtant, cette anomalie n’est pas observée chez les criminels violents non psychopathes.