La chose verte : de riches lobbyistes étrangers derrière les politiques écologiques de la Grande-Bretagne

La chose verte  les lobbyistes des politiques écologiques
 
Le journal The Mail explique dans son édition d’hier comment la « Chose Verte » financée par un groupe secret de riches lobbyistes étrangers conduit la Grande Bretagne à se choisir des politiques écologiques qui ruinent son économie.
 

La « Chose Verte », un puissant réseau de lobbyistes

 
Le terme de « Chose Verte », « Green Blob » en anglais, a été inventé par l’ancien secrétaire à l’environnement Owen Paterson, après qu’il a été limogé de son poste en juillet dernier. Il désigne ainsi un réseau de lobbyistes écologistes travaillant à tous les niveaux de l’administration britannique, qui a aidé à concevoir les politiques écologiques du pays.
 
Les investigations de The Mail révèlent qu’il ne s’agit pas d’un concept abstrait. Le journal révèle effectivement l’existence d’organismes aux noms « innocents » tels que la Loterie Nationale néerlandaise, la Fondation américaine de William et Flora Helwett, la Fondation du chêne Suisse qui redistribuent des dizaines de millions de livres chaque année à des lobbyistes du changement climatique en Grande-Bretagne, parmi lesquels Greenpeace ou les Amis de la Terre.
 
Ces organismes s’étaient publiquement félicités de leur capacité à créer une politique verte au Royaume-Uni lorsque le gouvernement avait voté la loi sur le changement climatique en 2008 et avaient alors annoncé qu’il n’y aurait bientôt plus de centrales électriques au charbon.
 

Des politiques énergétiques ruineuses pour la Grande-Bretagne

 
Selon l’analyste Peter Atberston, les politiques écologiques, notamment énergétiques, imposées par cette « Chose Verte » coûteront entre 360 et 400 milliards de sterlings à la Grande Bretagne d’ici à 2030. Il ajoute que ce coût fera au moins tripler les factures d’énergie des citoyens, alors qu’elles ont déjà considérablement augmenté ces dernières années…