Une nouvelle « étude » publiée en avril par le William Institute à l’école de droit de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA) « montre » que les couples homos seraient plus soumis aux effets du « changement climatique » que les « straigths » (normaux), et cela s’aggrave, c’était inutile de le préciser pour les « non Blancs » lgbt+, les « immigrés transgenres » étant les plus exposés aux « obstacles aux soins de santé ». Très doctement, l’étude nous explique que « le changement de climat est un défi global, mais il exacerbe aussi des inégalités existant entre individus et communautés ». Elle poursuit en affirmant que « ces différences ont un effet significatif tant sur l’exposition des communautés LGBTQ+ au changement de climat que sur leur capacité de s’y adapter ». Et conclut que les politiques publiques devraient déclarer la communauté « vulnérable » au changement de climat et prévoir des actions particulières pour la protéger. « Les politiques devraient se focaliser sur l’atténuation des pratiques discriminatoires liées au logement et au développement urbain, aménager des zones sûres pour les LGBTQ+ et garantir des aides de secours aux individus et familles LGBTQ+. » Voilà qui sonne connu, c’est de la politique démocrate arc-en-ciel classique, mais revenons à l’étude elle-même : qu’a-t-elle établi ? A partir de données du recensement, des cartes de la NASA sur le risque climatique portant sur les inondations potentielles et la pollution de l’air, et de l’Agence fédérale pour la gestion de l’urgence (FEMA), ils ont constaté que les LGBTQ+ vivaient plus dans les zones les plus soumises aux risques censément provoqués par le changement de climat (inondations potentielles et pollution de l’air). Pourquoi ? Parce que celles-ci sont les grandes villes (pollution de l’air) et les régions côtières. Et comme les LGBTQ+ sont surtout des urbains vivant dans les grandes villes et les régions côtières, ils se trouvent « discriminés » ipso facto. C’est merveilleux. Cela établit à la fois que l’arc-en-ciel est, du point de vue social, une maladie mentale urbaine, et que l’école de droit de l’UCLA se fiche ouvertement du monde. Il suffirait que les couples LGBTQ+ aillent travailler à la ferme dans le Midwest pour que cesse la malédiction intersectionnelle qui les poursuit à travers le climat.