Celui-ci avait demandé pardon, au mois de juin, pour la « répression » des hérétiques vaudois au Moyen Age par l’Eglise catholique. Le synode des Eglises méthodistes et vaudoises a écrit une lettre signée par les participants à la cérémonie de juin, affirmant : « Dans votre demande de pardon, nous saisissons la volonté claire d’initier avec notre Eglise une histoire nouvelle. Nos Eglises sont disposées à commencer à écrire ensemble cette histoire. » Mais « cette nouvelle situation ne nous autorise pas à nous substituer à ceux qui ont payé de leur sang et avec d’autres souffrances leur témoignage à la foi évangélique, et à pardonner à leur place », disent-ils.
Manière de dire au pape François qu’il ne peut demander pardon à la place des catholiques médiévaux ? Toute cette histoire fait peu de cas de l’opposition radicale des Vaudois aux dogmes de l’Eglise catholique, à la messe et à son ouverture récente au « mariage » gay.