Une enquête menée auprès de 1.500 professeurs du secondaire aux Etats-Unis par le Centre national des sciences de l’éducation de Penn State University révèle que la plupart d’entre eux hésitent à en parler à leurs élèves, ne consacrant qu’une ou deux heures de cours tout au plus à expliquer le phénomène. Un tiers d’entre eux ne croit même pas à l’origine anthropique du réchauffement !
Bref, la propagande ne fonctionne pas.
Une porte-parole du Centre se réjouit cependant de ce que moins de 5 % des enseignants ne fassent pas état de « pressions » qui les contraindraient à ne pas parler du changement climatique aux élèves. Minda Berbecco estime que les professeurs ont besoin de davantage d’outils et de formation pour pouvoir l’enseigner. La pression, c’est bien quand elle appuie dans une seule direction !