Le milliardaire mondialiste George Soros a rencontré mercredi dernier le nouveau premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, s’il faut en croire divers articles publiés par la presse espagnole. La rencontre s’est déroulée à la résidence officielle du Premier ministre, au Palacio de la Moncloa, selon le site OKDIARIO, mais l’agenda officiel de Sanchez ne permet pas de confirmer l’information, puisque le rendez-vous n’y figure pas.
Selon le site OKDIARIO, l’entretien a duré environ une heure et demi et se serait déroulé en présence de deux personnes « non identifiées, qui pourraient être des conseillers financiers ». Mais on évoque aussi une rencontre de Soros et Sanchez – la même ? – avec Josep Borrell Fontelles, actuel ministre espagnol des Affaires étrangères, de l’Union européenne et de la coopération, ancien président du Parlement européen de 2004 à 2007, pour « partager leurs points de vue sur l’économie et l’avenir ».
George Soros et Pedro Sanchez, deux hommes faits pour s’entendre ?
L’événement ayant tout d’une rencontre secrète avec le fondateur du très gauchiste groupe immigrationniste Open Society Foundation, le quotidien de droite La Gaceta dénonce le mépris de l’opinion publique de la part d’un nouveau dirigeant qui se prétend à la tête d’un « gouvernement de transparence ». Et ce d’autant qu’il a également, selon le quotidien, rencontré discrètement les responsables du parti d’extrême gauche Podemos, à qui l’on attribue des liens financiers avec le chavisme Vénézuélien.
Ce qui est sûr, c’est que Pedro Sanchez a bien mérité de l’idéologie du « No Frontiers » en ouvrant le port espagnol de Valence aux réfugiés de l’Aquarius, ayant présentant comme une priorité de démantèlement de la barrière de barbelés qui protège les enclaves espagnoles en Afrique du Nord, Ceuta et Melilla, des hordes de candidats à l’immigration clandestine dans l’Union européenne.
Le Premier ministre espagnol, l’homme des « No Borders »
Alors que l’idéologie globaliste de Soros se heurte actuellement à la résistance des peuples européens, que ce soit en Italie ou en Autriche ou dans les anciens pays communistes d’Europe de l’Est, l’Espagne est en train de prendre utilement le relais, dans un contexte de gauchissement sur tous les plans qui n’augure rien de bon, ni pour l’Europe, ni pour les catholiques et conservateurs espagnols qui après avoir été très, très mollement servis par le gouvernement de Mariano Rajoy, semblent devoir affronter un nouveau bond en avant des forces révolutionnaires.
Si visite il y a eu chez Pedro Sanchez, elle relève aussi de la gestion de crise…