La vidéo par laquelle une jeune musulmane noire voilée dénonce calomnieusement, en donnant son adresse et son visage, le gérant d’un magasin de chaussures Geox à Strasbourg, le mettant ainsi en danger, a été vue des millions de fois. Elle s’ajoute à une série de faits divers où l’islam est en cause, lynchages, assassinats, proviseur déplacé, etc… La chose est si patente et si grave que les grands médias ne la cachent plus. Mais il ne faut pas se tromper d’analyse : si l’islam fait en évidemment courir un danger à l’Europe et à la France, ce n’est pas lui l’ordonnateur de la révolution en cours, ni le bénéficiaire final. Il n’est en l’occurrence qu’un des moyens, particulièrement puissant, du mondialisme révolutionnaire.
Derrière l’affaire Geox, Marion Maréchal désigne l’islam
Marion Maréchal a parfaitement saisi la balle au bond. Elle a posté sur X le message suivant : « En 5j : une femme tabassée car elle ne respecte pas le ramadan, un homme tué car il buvait de l’alcool, un gérant de magasin #Geox piégé par une islamiste en danger de mort, un boucher qui aurait été torturé car il vend du cochon, et on me reproche de trop parler d’islamisation ? » C’est plein de bon sens. L’ascendance de la jeune femme, petite fille du fondateur de l’extrême droite moderne et fille d’un officier du Mossad, la place idéalement pour capter l’agacement du peuple devant l’islam conquérant. Mais quand elle ajoute, dans un autre tweet : « Le jour où l’Islam deviendra majoritaire sous le poids de l’immigration, la charia s’appliquera, nous ne serons plus libres. J’ai deux petites filles, je me battrai de toutes mes forces pour qu’elles ne finissent pas voilées sur la terre de leurs ancêtres ! », pose-t-elle le vrai problème ?
Le mondialisme fournit ses procédés à la révolution
Sans doute les « faits divers » commis tantôt par des « jeunes », tantôt par des « déséquilibrés » s’enchaînent-ils toujours plus vite, sans doute les « échauffourées » dans les « quartiers populaires » ne sont-elles pas dues exclusivement au « chômage » ni au « trafic de drogue ». Et certainement le fait de se présenter à un entretien d’embauche voilée n’est-il pas innocent, pas plus que la diffusion des images, non floutées, et situées, sur les réseaux sociaux. Il s’agit d’une stratégie de provocation et d’affirmation dans l’espace public, d’une revendication politique. Mais ces méthodes de testing, et de name and shame, n’ont pas été inventées par l’islam, elles viennent de la gauche radicale américaine. Elles ont été reprises en France et en Europe par les partis ONG agissant pour le compte de la révolution mondialiste. Les innombrables migrants (en fait, très bien recensés : rien que pour les « réguliers », il y en a eu 323.000 en 2023) qui ruissellent sur notre sol et dont beaucoup appartiennent à l’islam ne sont que la chair à canon de cette révolution.
Le mondialisme maçon utilise l’islam
Une bonne indication sur le véritable objectif de celle-ci est donnée par la façon différente dont la maçonnerie française a traité le catholicisme au début de la troisième République et l’islam aujourd’hui. Sur l’islam, elle est divisée entre vieux laïcs et partisans d’une laïcité positive, mais, dans l’ensemble, elle tient depuis quarante ans un discours type « pas d’amalgame » qui a permis à la fois la progression de l’immigration et la promotion à terme d’un islam « assagi » façon Mohamed Ben Salman. Face au catholicisme au contraire, le temps des prétendues « conquêtes laïques » porta une guerre civile rageuse et implacable. Un seul exemple, le voile : la FM n’entend pas l’exclure totalement de nos rues, elle trouve avec l’islam des accommodements, alors que dans les années 1900 des bandes maçonniques attaquaient dans les rues les communiantes qui portaient un voile de mousseline le jour de leur communion. L’islam est pour la révolution mondialiste un adjuvant pour se débarrasser du monde ancien, après quoi il sera soumis aux valeurs de la république arc-en-ciel. Le mouvement se dessine aujourd’hui dans une presse qui commence à relater les excès de l’islam, qui sert ainsi de repoussoir et en même temps de bulldozer.