Une nouvelle société américaine vendeuse de GPA, Circle Surrogacy, a organisé une réunion et des consultations la semaine dernière en France, planifiée depuis six mois alors même que le gouvernement prétend lutter contre la GPA.
La société prévient même les clients potentiels que la signature d’un tel contrat est contraire à la loi française, mais qu’il n’est pas nécessaire de traverser l’Atlantique : le contrat est signé en France et envoyé par la poste ou par mail, bien que cela soit illégal.