En Grande-Bretagne, des scientifiques viennent de découvrir que le fluor pouvait causer des dépressions et un gain de poids : ils encouragent les municipalités britanniques à cesser immédiatement toute injection de fluor dans l’eau potable. Les nouveaux résultats cités par ces scientifiques contredisent en effet un rapport publié l’année dernière par les services de santé publique de Grande-Bretagne affirmant que la présence de fluor dans l’eau était un moyen « sûr et efficace » d’améliorer la santé dentaire.
La nouvelle étude menée auprès de 98% des médecins généralistes de Grande-Bretagne révèle que les cas d’hypothyroïdie sont 30 % plus nombreux dans les régions dans lesquelles la présence de fluor dans l’eau est la plus forte.
En Grande-Bretagne, de très nombreux problèmes de thyroïde sont liés au fluor
The Telegraph estime à 15.000 le nombre de personnes qui présentent de ce seul fait des dysfonctionnements de la thyroïde, entraînant dépression, gains de poids, douleur et fatigue. Près de 10% de la population de Grande-Bretagne vit dans des régions dans lesquelles l’eau est artificiellement enrichie ou naturellement riche en fluor. Les problèmes de thyroïde sont plus nombreux dans ces régions que sont les West Midlands ou le nord-est de la Grande-Bretagne. Le constat de l’équipe de chercheurs est simple : le fluor inhibe la production d’iode, nécessaire pour le bon fonctionnement de la glande thyroïde. Voilà qui met en cause la politique de fluorisation de l’eau menée en Grande-Bretagne. Et ce n’est pas la première étude à fournir de tels résultats.
D’autres études avaient déjà mis en garde contre le danger du fluor dans l’eau
En 2014 déjà, une étude menée à Harvard révélait que le fluor pouvait être responsable d’une baisse du QI chez les enfants. L’étude avait alors réclamé la classification du fluor parmi les neurotoxiques dangereux… Les autorités britanniques n’ont pas pour autant mis fin à son injection dans l’eau potable.
Des études plus anciennes encore décrivaient le fluor comme un produit dangereux. En 1970, le docteur Dean Burk, chef du département de biochimie des cellules du National Cancer Institute pendant 30 ans, affirmait que le fluor augmentait le nombre de morts par cancer après avoir comparé les 10 plus grandes villes dont l’eau était riche en fluor et les 10 plus grands villes dont l’eau n’en contenait pas.
Malgré les nombreuses preuves de la nocivité du fluor, ses défenseurs n’ont cessé de le préconiser.
Cette nouvelle étude réussira-t-elle à les empêcher de nuire ?