Secrets de famille… Il en est qu’on préfère étouffer et ensevelir sous des années de silence. Il en est d’autres qu’il faut savoir extirper et brandir aux yeux d’un monde qui aurait pourtant préféré les ignorer… ! Moira Greyland a eu ce courage. Fille d’un homosexuel et d’une lesbienne pédophiles, elle raconte aujourd’hui, dans un livre, à quarante ans passés, les horreurs subies en famille.
A l’entendre et à la lire, la pédophilie découle bel et bien naturellement de l’homosexualité, telle une tare originelle, inscrite au cœur de la pensée pédéraste. Une bombe pour le lobby LGBT.
« Des mains qui déchirent mon âme » (Moira Greyland)
« Je suis née dans une famille d’auteurs païens célèbres à la fin des années soixante. Ma mère était Marion Zimmer Bradley, et mon père était Walter Breen. A eux deux, ils ont écrit plus de cent livres : ma mère a écrit de la science-fiction et de la fantasy (Mists of Avalon), et mon père a écrit des livres sur la numismatique ».
Et pourtant, Moira Greyland ne porte le nom ni de son père, ni de sa mère. Les raisons, elle les résume dans son récit autobiographique qui vient d’être publié sous format numérique : The Last Closet : The Dark Side of Avalon (Le Cycle d’Avalon est un cycle de fantasy écrit par sa mère) ; il est resté « best-seller » sur Amazon pendant plusieurs semaines.
Un livre à charge, terrible, glauque qui révèle les horreurs de son enfance passée sous la houlette de parents LGBT, familiers des drogues, habitués des orgies, adeptes des pratiques occultes, qui ont sexuellement abusé d’elle ainsi que de ses frères à plusieurs reprises, l’ont psychologiquement violentée et marquée à vie.
Un poème, intitulé « Les Mains de ma mère », en témoigne mieux que tout récit :
« Mains à étrangler, mains à écraser
Des mains pour faire rougir ses enfants
Des mains qui déchirent mon âme
Deux mains maléfiques, basses et corrompues…
Je ne serai jamais la même »
Une enfance marquée LGBT
De détail, on ne donnera pas – on n’étale pas (trop) la turpitude. « J’avais deux parents biologiques à la maison, mais tous deux refusaient d’agir comme des parents traditionnels ». De protection, de réconfort, elle n’a rien reçu. Il fallait qu’elle soit horrifiée de sa féminité et qu’elle accepte de se livrer sexuellement. « La première fois qu’elle m’a molestée, j’avais trois ans. La dernière fois, j’avais douze ans et j’ai été capable de partir », écrit Moira Greyland.
C’est à la fin des années1980 que Moira devenue adulte, a pu enfin faire traîner son père en justice l’ayant personnellement vu abuser sexuellement d’un petit garçon de 10 ans. Une dénonciation qui engendra plusieurs condamnations – les victimes étaient légion – et Walter Breen alla en prison pour le reste de sa vie. Sa femme, Zimmer Bradley, a non seulement reconnu le penchant de son mari au procès-verbal, mais aussi un certain nombre des viols qu’elle avait laissé faire.
Ses propres abus sexuels commis sur sa fille Moira ne furent connus, eux, qu’en 2014, lorsque Moira Greyland fut interrogée par un blogueur et écrivain de science-fiction Deirdre Saoirse Moen. Sa réponse, si instructive, fut publiée par les grands media internationaux, du Washington Post à Die Welt. Bouleversant la communauté de la fantasy qui adulait Zimmer Bradley, et provoquant déjà des remous chez les LGBT-istes. Son livre récent achève de confirmer une réflexion politiquement très incorrecte sur l’homosexualité.
« Il a commencé à m’apparaître que peut-être l’homosexualité était un problème »
« J’ai entendu toutes les protestations habituelles. « “Vos parents étaient méchants parce qu’ils étaient méchants, pas parce qu’ils étaient gaysˮ, mais je ne suis pas d’accord », écrit cette enfant de l’enfer, devenue harpiste (la musique adoucit les mœurs ?), puis épouse et mère de famille convertie au christianisme.
Ce qu’elle ose remettre en cause, c’est l’idée même du sexe et de l’homosexualité. Après toutes ces années passées à tenter de comprendre pour exorciser, « Il a commencé à m’apparaître que peut-être l’homosexualité était un problème ».
Ses deux parents se définissaient comme homosexuels. Mais ils voyaient la pédophilie comme une conséquence naturelle, une concrétisation pleine et logique de leur sexualité (et même de la sexualité). Le père de Moira Greyland était un membre ouvert de la « North American Man-Boy Love Association ». Lui et Zimmer Bradley ont publié conjointement un journal sur la pédérastie et la pédophilie, The International Journal of Greek Love, en 1965. En 1966, Zimmer a écrit un article traitant de la pédophilie lesbienne d’une manière positive et dans ses livres de fantasy, il est aisé de découvrir ces thèmes déclinés dans l’ombre.
Leur fille Moira a été pour eux, surtout pour sa mère, un terrain d’application.
La pédophilie deviendrait ainsi soudainement normale
Pour Moira Greyland, l’idée profonde de la communauté gay est que la société est contrainte à une pratique hétérosexuelle imposée. Et que seule une expérience sexuelle précoce empêchera les enfants d’être enfermés dans cette sphère profondément réductrice. Car enfin, « Le sexe a toujours raison, quelque forme qu’il revête » – il est bon par nature et forcément bénéfique pour les deux parties. Donc il FAUT éduquer les enfants en ce sens, pour leur ouvrir les yeux sur « ce qu’ils sont réellement » – jouisseurs avant tout, de toutes les manières.
Ainsi le sexe précoce fera disparaître l’homophobie, mais « détruira aussi la famille nucléaire haïe avec son paternalisme, son sexisme et son âgisme »… « Si suffisamment d’enfants sont sexualisés assez jeunes, la pédophilie sera soudainement ‘normale’ et acceptée par tout le monde, et les vieilles notions sur la fidélité disparaîtront » écrit Moira Greyland dans un long article publié sur askthebigot.com.
C’est à ce moment qu’elle a commencé à dénoncer le mariage homosexuel, s’aliénant, ce faisant, la plupart de ses partisans : « Ils ne veulent pas accepter la possibilité que l’homosexualité puisse avoir pour résultat de détruire des enfants et même de détruire les adultes qui insistent pour rester dans son esclavage. »
Des témoignages, Moira Greyland en a reçu pléthore. « Chaque enfant de parents gays avec qui j’ai parlé avait certaines choses en commun, écrit-elle dans The Last Closet. Ceux qui n’avaient que des parents de même sexe à la maison avaient soif de leur parent disparu et aspiraient à un vrai père, et presque tous avaient été sexualisés trop jeunes ». Quant aux abus, les chiffres parlent pour eux : ils sont considérablement plus nombreux de la part des « parents » homosexuels.
Mais voilà il y a des vérités qui fâchent. On autorise les victimes – pas leurs critiques. Surtout que la mère de Moira Greyland a toujours été considérée comme une féministe ayant ouvert bien des portes dans les années 1970.